Ils sont dans la chair, mais ne vivent pas selon la chair

« Les chrétiens se répartissent dans les cités grecques et barbares suivant le lot échu à chacun ; ils se conforment aux usages locaux pour le vêtement, la nourriture et la manière de vivre, tout en manifestant les lois extraordinaires et vraiment paradoxales de leur république spirituelle… Toute terre étrangère leur est une patrie et toute patrie une terre étrangère. Ils se marient comme tout le monde, ils ont des enfants mais ils n’abandonnent pas leurs enfants. Ils partagent tous la même table, mais non la même couche. Ils sont dans la chair, mais ne vivent pas selon la chair. Ils passent leur vie sur la terre mais sont citoyens du ciel ».

…………«Dieu dit: Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance» (Genèse 1)—« Le verbe de Dieu est devenu homme, afin que tu apprennes de l’homme comment l’homme peut devenir Dieu » Clément d’Alexandrie (Protreptique, I,8,4)— « Le verbe de Dieu qui à cause de son surabondant amour, s’est fait cela même que nous sommes afin de faire de nous cela même qu’Il est » Irénée (Ad haer. ,V,Paef.P.G.,7 COL. 1120)— « Dieu s’est fait porteur de la chair, pour que l’homme puisse devenir porteur de l’Esprit », Athanase ( De inc. Verbi,8)— « Dieu le Verbe nous a donné les prémices de l’Esprit-Saint, afin que nous puissions devenir des dieux à l’image du Fils de Dieu » Athanase, (P.G., 26,997 A)— « Dieu a créé le monde pour y devenir homme et pour que l’homme devienne Dieu, par grâce, et participe ainsi aux conditions de l’existence divine », Maxime le confesseur ( De incarnatione)— « Il est devenu homme à cause de toi, en sorte que toi, par lui, tu deviennes Dieu » Grégoire le théologien (Discours,XL)
Affichage des articles dont le libellé est enfants. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est enfants. Afficher tous les articles

samedi 19 janvier 2013

Le Royaume de Dieu est celui des enfants

"Les disciples s'approchèrent de Jésus et lui dirent : « Qui donc est le plus grand dans le Royaume des cieux ? »  Alors Jésus appela un petit enfant ; il le plaça au milieu d'eux,  et il déclara : « Amen, je vous le dis : si vous ne changez pas pour devenir comme les petits enfants, vous n'entrerez point dans le Royaume des cieux.  Mais celui qui se fera petit comme cet enfant, c'est celui-là qui est le plus grand dans le Royaume des cieux.  Et celui qui accueillera un enfant comme celui-ci en mon nom, c'est moi qu'il accueille." (Matt. 18; 1-5)


"Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. Je vous le dis en vérité, quiconque ne recevra pas le royaume de Dieu comme un petit enfant n'y entrera point. Puis il les prit dans ses bras, et les bénit, en leur imposant les mains" (Marc 10; 14-16)

"Mais Jésus les appela en disant : « Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas, car le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent.Amen, je vous le dis : celui qui n'accueille pas le royaume de Dieu à la manière d'un enfant n'y entrera pas. »" (Luc 18; 16-17)

mardi 23 octobre 2012

Les méfaits de la télévision sur tous, enfants et adultes

"Avez-vous remarqué durant ces jours-ci que nous avons passés sur ce bateau, comme nous n'avions pas de distractions extérieures? Nous n'avions rien pour attirer notre attention ailleurs, comme à la maison – par exemple la télévision. Avez-vous remarqué de combien de temps dont nous disposions? Nous avons même conversé entre nous. Vous qui êtes mariés vous avez eu le temps de parler entre vous – avec vos conjoints et vos enfants. Les enfants ont joué ensemble, ils ont parlé entre eux, et nous avons eu beaucoup de temps pour nous-mêmes et nous avons communiqué avec chacun, et c'est l'élément le plus important de tous: que nous puissions communiquer.

 La chose la plus tragique se passe à la maison, quand tous sont assis en face de la télévision et que personne ne se parle..  le temps s’échappe et les gens ne communiquent pas entre eux. Et le pire de tout cela ? Ce sont les choses que nous voyons à la télévision ... c'est la source de la pire corruption pour ceux qui nous sont les plus proches, nos enfants et nos âmes. Une de ces journées, quand nous avons débarqué et que nous nous promenions sur la place, j'ai remarqué dans un de ces lieux où l’on sert aux plus jeunes différentes choses, où on leur propose des rafraîchissements, qu'ils avaient allumé un téléviseur, et même si personne n’y faisait attention, il était toujours allumé. Donc, je suis resté là pendant un moment, pour voir ce qu'il montrait – même si je ne sais pas quel genre de film c'était [...] on voyait à l’écran des gens qui en poursuivaient d'autres tout le temps, c’était une poursuite sans fin... avec des armes, des coups de feu, des voitures, des explosions, des sauts d'une maison à une autre ... Mais ce sont des choses devant lesquelles vos enfants, vos pauvres enfants, s'assoient et qu’ils regardent… toute cette violence... et je ne parle même pas de toutes les obscénités... je ne veux pas en parler, de ces obscénités qui ont détruit même des personnes âgées. Et ne me dîtes pas que ce n'est pas comme cela, car je le sais et de première main : ce sont des aveux que l'on entend en confession. 
Des personnes âgées, même des personnes très âgées, qui sont par ailleurs très respectables, ont été abîmées par la télévision, et toute cette vulgarité à laquelle ils sont exposés tous les jours. Je ne parle pas de ce dommage particulier en ce moment, je fais référence à toutes les autres choses – toute la violence que la télévision projette. Comment ne pas s'attendre à ce que les enfants ne soient pas familiarisés avec la violence? Ils deviendront naturellement indisciplinés et désobéissants et feront des choses qui sont tout à fait étrangères à leur nature! Avez-vous la moindre idée de l’abomination qu’offre le spectacle de jeunes enfants imitant les personnes âgées? Ils imitent les adultes, et ils détruisent leur enfance innocente. Quelquefois, quand je suis invité à un évènement, on amène des tout-petits et on leur dit de danser. Et vous voyez ces petites filles ou ces petits garçons, de dix ou douze ans, pleins d'innocence, qui font des mouvements de danse qu'ils ont vu faire par des femmes plus âgées – des femmes qui sont tout à fait choquantes, d'une tout autre moralité. Vous pouvez réellement voir comment ces enfants sont abîmés, avec leurs imitations des adultes qu'ils voient à la télévision, et aussi en faisant toutes sortes de choses et en s’amusant avec des choix qui sont catastrophiques. 
Et je ne parle pas seulement de l'aspect spirituel, mais de tous les aspects – psychologique, social et familial. Gardez-les aussi loin que vous le pouvez de toutes ces choses. Aidez vos enfants à ne pas dépendre de la télévision, car ils seront saturés de toutes ces images obscènes, et vous aussi. Si vous ne permettez pas à vos enfants de regarder des films obscènes, mais que vous, adultes vous le faites, alors à quoi cela sert-il ? Et que dire de ces avertissements stupides qu'ils écrivent sur l'écran –que le film ne convient pas au moins de 18 ans ou… moins de 12 ans… et autre dans le style... Est-ce à dire que si vous avez plus de 12 ans, le spectacle vous convient ? Evidemment, ces mises en garde suscitent la curiosité des jeunes et chacun d'entre eux vont inévitablement désirer voir le film. Ils se disent que si ce film est interdit aux personnes de moins de 12 ans, il doit y avoir quelque chose qui est digne de toutes les curiosités... 
À mon avis, la destruction qui est infligée à l’intimité des gens est incalculable. Parce que […] si toutes les images positives, toutes les bonnes images que l'on absorbe sont extrêmement bénéfiques dans la vie spirituelle, à l’inverse, les mauvaises images qu'une personne observe créent autant de situations mauvaises ; le dommage causé est littéralement incalculable et parfois nous ne pouvons même pas dire si la personne peut en être guérie. 
Pourtant si quelqu'un venait à observer les choses et à les étudier, il verrait à quel point est considérable la catastrophe que la télévision peut faire sur le psychisme d'une personne, et surtout chez les jeunes. Et cela n'a pas de limites, voyez-vous, car un mal en apporte un autre. Ce sera toute une chaîne de maux, parce que  la télévision détruit la communication, elle détruit le temps, elle détruit l'innocence de l'âme d'une personne, et alors l'homme s'épuise, et étant épuisé, il n'a aucune envie de faire quoi que ce soit. Son âme est saturée de ce qui l’épuise, et il se demande pourquoi il est fatigué – il ne peut pas comprendre pourquoi ... Essayez de faire l'expérience d'éliminer ou au moins de diminuer ces maux, et vous verrez comment vous deviendrez plus détendu et  comment vous disposerez de davantage de temps libre, ce qui sera bien plus fructueux -pour toute autre chose que vous pouvez faire.

Naturellement, ces choses ne sont pas sans rapport avec notre vie spirituelle, parce que la vie spirituelle d'une personne est un produit de toutes les activités qu'a une personne. Par cela, je ne veux pas dire d’arrêter complètement de regarder la télévision. Je ne suis pas contre la télévision en soi, c'est simplement que des choses comme celles-là nous rendent la vie plus difficile au lieu de la rendre plus facile, et qu'elles la détruisent, comme l’ont fait les «progrès» de la technologie qui a, par ailleurs  facilité nos vies. Vous prenez un avion, et vous vous rendez [là vous le désirez]. Vous prenez un bateau, et vous vous  rendez rapidement à destination  – vous  n'avez pas besoin de ramer, comme ils le faisaient dans l’ancien temps.... ce sont mille autres commodités ... toutes ces commodités qui ont pu faciliter nos vies, mais qui, à long terme, nous ont aussi piégés et mis en grande difficulté et nous ont fait nous perdre nous-mêmes, elles nous ont fait perdre la beauté de notre vie et nous avons finalement détruit le monde dans lequel nous vivons, et maintenant, nous voulons encore plus de sciences et de découvertes, pour voir si nous pouvons sauver ce qu'il en reste ..." (8ème extrait d'une conférence donnée par Mgr Athanase de Limassol - version française de Maxime le minime  source)

vendredi 22 juin 2012

Qui bene amat bene castigat ?

"La société n'ose plus éduquer. Le discours idéologique anglo-saxon est en train de prendre le pouvoir, considérant qu'il ne faut absolument pas traumatiser l'enfant. Cela devient une sorte de phobie de la violence. Je pense que l'on est dans ce que Alain Minc avait appelé l'ivresse démocratique, où on n'ose plus critiquer quelqu'un, on n'ose plus rentrer dans le lard..." Ainsi s’exprimait Bertrand Vergely, le philosophe et théologien orthodoxe lors d'une interview faite pour le site http://www.atlantico.fr/ à l'occasion d'un procès fait au maire de la commune de Cousolre, et assorti d'une 1000 euros d'amende avec sursis pour avoir giflé un adolescent de 15 ans qui avait avait proféré des menaces de mort à son encontre après l'avoir insulté alors que le maire ( ayant qualité d'officier de police judiciaire ) lui reprochait d'escalader un grillage pour récupérer un ballon tombé dans un terrain communal.


Il y a deux ans j'avais écrit un article sur orthodoxe-ordinaire qu'il ne me paraît pas inutile de reproduire ici dans le cadre de ce blog, sachant que l'on ne lit pas forcément tous les articles, ni ne les relit encore moins.


Qu’est-ce qu’aimer vraiment ses enfants ?


Désormais de nos jours, la plupart des parents que nous sommes, voulant donner à leurs enfants confiance en eux-mêmes, pour les rendre forts dans leur vie d’adulte à venir et contribuer au développement de leur personnalité et à l’affirmation de leur singularité, dans un monde où la compétition fait rage, nous sommes continuellement en train d’encourager la moindre de leurs réalisations en les félicitant, en leur disant combien nous sommes fiers d’eux et en leur donnant toutes sortes de récompenses en ces occasions.


Ce n’est certes pas le genre de comportement parental qui était courant autrefois ni naguère. On considérait les phases de croissance de l’enfant du point de vue de leur aboutissement sans trop s’attarder sur les phases transitoires de leurs apprentissages et de leurs réalisations. On s’en réjouissait certainement mais on avait plutôt tendance à montrer à l’enfant que tous ses succès étaient normaux et n’avaient pas à être spécialement montés en épingle. En revanche, il est vrai, on insistait plutôt davantage sur les défauts, les corrections à apporter, les efforts à faire encore et les insuccès qu’il ne fallait pas renouveler.



Mais, peu à peu, de plus en plus, se sont répandues, par le biais de travaux, d’ouvrages de professionnels de l’enfance et d’articles de magazines en rendant plus ou moins fidèlement compte des idées concernant la reconnaissance, le respect de la personne de l’enfant et le nécessaire soutien des parents pour son développement. En tout état de cause notre époque préfère appuyer sur le « positif » que de s’attarder sur le « négatif ».
Quel comportement faut-il préférer ?
Quelle est l’attitude la plus chrétienne vis-à-vis de cela pour l’éducation des enfants ? Les parents majoritairement ne désirent que le bien de leurs enfants parce qu’ils les aiment.
Cela ne va pas de soi évidemment…


Comme nous, Orthodoxes, avons l’habitude de consulter ce qu’ont dit nos saints Pères et nos maîtres spirituels pour nous éclairer et nous guider sur tel ou tel sujet difficile de la vie quotidienne, nous citerons quelques unes de leurs paroles à propos des enfants.

Voici par exemple ce que dit Père Païssios :



« De nombreux parents, pensant qu'ils aiment profondément leurs enfants, finissent par les détruire sans s'en rendre compte. Par exemple, une mère qui aime trop sa fille, lui dit tout en la tenant dans ses bras: « J'ai le meilleur enfant du monde. » Ainsi, à partir d'un très jeune âge (quand un enfant est incapable de s'en rendre compte et de réagir contre cela), cette enfant acquiert un esprit hautain et croit qu'elle est une personne merveilleuse. Il s’ensuit qu’elle n'est pas capable de percevoir le manque de la présence de Dieu et de sa puissance bienveillante dans sa vie et, bien sûr, elle ne peut pas apprendre à faire appel à Lui. En conséquence, elle développe une confiance en soi, solide comme le marbre, qui, souvent, qui ne s’en va jamais, puisque, et le temps passant, il devient très difficile de s'en débarrasser. »


Voilà bien une sentence peu conforme à l’objectif de nombreux parents qui pourraient bien s’étonner voire s’indigner de tels propos à l’égard de leur progéniture chérie….
De tels propos paraissent bien difficiles à accepter. Il y a pourtant lieu ici de comprendre dans quel contexte l’Ancien Païssios, qui a entendu tellement de parents exprimer leurs difficultés à élever leurs enfants dit de telles paroles.

Le défi des parents qui aiment leur enfant est de l’aider à développer une bonne estime de soi qui inclut l'humilité, tout en leur enseignant que tout vient de Dieu. En vérité, nous sommes tous enfants de Dieu et tout ce que nous avons et pouvons faire vient de Lui. Il est important de se le rappeler de le remercier pour les dons qu'il nous donne et la capacité à les développer et à les appliquer. L’orgueil se développe lorsque nous pensons que nos réalisations viennent entièrement de nous ou que nous sommes intrinsèquement meilleurs que les autres.

Qu'en est-il de l’importance que nous donnons aux sports et à la compétition ? Une enquête récente a montré que ceux qui participent à des sports aussi importants que le baseball, le basket-ball ou le football sont plus susceptibles de tricher à l'école. Ces activités qui mettent l'accent sur l’accomplissement personnel indépendant de Dieu peut conduire nos enfants loin de Dieu ce qui leur rend plus difficile plus tard dans la vie la nécessité de se repentir et de se rapprocher de Dieu.

Nous, les parents avons une énorme responsabilité. Nous devons d'abord développer l'humilité nous-mêmes.

L’Ancien Païssios dit aussi :
« Les parents doivent s'occuper de leur vie spirituelle, car mis à part eux-mêmes, ils sont aussi responsables de leurs enfants. Bien sûr, ils ont l'excuse d'avoir hérité leurs traits négatifs de leurs propres parents ; cependant ils n'ont aucune excuse de ne pas essayer de se débarrasser de ces mauvaises choses, une fois qu'ils prennent conscience de leur existence. »


Il y a lieu de travailler sans cesse sur notre propre relation à Dieu c’est sans doute le plus sûr moyen de devenir un meilleur parent.
Je me rappellerai toujours ce prêtre catholique sportif - sans me souvenir de son nom - qui apprenait aux enfants à plonger du haut d'une falaise, il disait "Avant on demandait beaucoup aux enfants et on en faisait des hommes, de nos jours on leur donne beaucoup et..."

Les enfants de nos jours ont-ils beaucoup de résistance à l'épreuve, à la frustration,  beaucoup de courage devant l'obstacle, beaucoup de ténacité devant ce qui est difficile, beaucoup de patience devant ce qui ne vient pas tout de suite ? Autrement  dit sont-ils bien armés pour faire face aux difficultés de leur vie présente d'enfant et d'adulte à venir. Rien n'est moins sûr...


Sans aucun doute le juste milieu, ou plutôt l'attitude juste se trouve-t-elle dans une vie en présence de Dieu. Les normes, de quelques sortes qu’elles soient, anciennes ou nouvelles, "has-been" ou à la mode, ne concernent pas l'Esprit Saint de Dieu qui seul nous permet de discerner ce qui est bon pour l'un mais qui ne l'est pas pour l'autre, ce qui fortifie l'un mais qui peut écraser l'autre, ce qui perd l'un mais peut sauver l'autre. Le véritable amour (pas seulement pour nos enfants mais également pour notre prochain) n'est-il pas celui qui se rapproche le plus de Dieu qui sait, dans son incommensurable miséricorde, mieux quiconque, ce qui est bon pour nous et pour notre salut.

jeudi 20 octobre 2011

L'amour de ses enfants

Qu’est-ce qu’aimer vraiment ses enfants ?


Désormais de nos jours, la plupart des parents que nous sommes, voulant donner à leurs enfants confiance en eux-mêmes, pour les rendre forts dans leur vie d’adulte à venir et contribuer au développement de leur personnalité et à l’affirmation de leur singularité, dans un monde où la compétition fait rage, nous sommes continuellement en train d’encourager la moindre de leurs réalisations en les félicitant, en leur disant combien nous sommes fiers d’eux et en leur donnant toutes sortes de récompenses en ces occasions.

> J'avais écrit cet article il y a quelque temps sur mon autre blog Orthodoxe Ordinaire mais il me semble qu'il a bien sa place ici... pour le lire entier cliquez -ICI-

jeudi 29 septembre 2011

UNE NOUVELLE PAGE SUR L'EDUCATION ORTHODOXE DES ENFANTS

LES HOMÉLIES DE P. GEORGES MORELLI SUR L’ÉDUCATION DES ENFANTS
Une nouvelle page du blog Vie orthodoxe sur  les enfants
voir le nouvel onglet ci-dessus