Père Sergei Smirnov dans une des églises rurales dans la région de Voronezh. Ses fils viennent courir au son des cloches de l'église. En tant qu'étudiant et étudiant en économie, le père Sergei visitait souvent des monastères avec son père. Ces voyages, plus le contact qu'il avait avec les moines, ont influencé la décision de Sergei d'entrer au Séminaire orthodoxe de Voronezh. Il est actuellement membre du clergé du diocèse de Voronezh.
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- Au jour le jour...
- PROLOGUE : UN PROGRAMME DE VIE ORTHODOXE
- 1. PRIÈRE ORTHODOXE QUOTIDIENNE
- 2. MYSTÈRES ORTHODOXES
- 3. CYCLE LITURGIQUE ORTHODOXE
- 4. PRIÈRE DE JÉSUS
- 5. RALENTIR ET ORDONNER NOTRE VIE
- 6. ÊTRE ATTENTIF
- 7. APPRIVOISER LES PASSIONS
- 8. LES AUTRES ET SOI
- 9. FRATERNITÉ SPIRITUELLE
- EDUCATION ORTHODOXE
- PAROLES de SURVIE
- LES PROPHÈTES dans la vie orthodoxe
Ils sont dans la chair, mais ne vivent pas selon la chair
« Les chrétiens se répartissent dans les cités grecques et barbares suivant le lot échu à chacun ; ils se conforment aux usages locaux pour le vêtement, la nourriture et la manière de vivre, tout en manifestant les lois extraordinaires et vraiment paradoxales de leur république spirituelle… Toute terre étrangère leur est une patrie et toute patrie une terre étrangère. Ils se marient comme tout le monde, ils ont des enfants mais ils n’abandonnent pas leurs enfants. Ils partagent tous la même table, mais non la même couche. Ils sont dans la chair, mais ne vivent pas selon la chair. Ils passent leur vie sur la terre mais sont citoyens du ciel ». |
lundi 27 mars 2017
Père Sergei Smirnov dans une des églises rurales dans la région de Voronezh. Ses fils viennent courir au son des cloches de l'église. En tant qu'étudiant et étudiant en économie, le père Sergei visitait souvent des monastères avec son père. Ces voyages, plus le contact qu'il avait avec les moines, ont influencé la décision de Sergei d'entrer au Séminaire orthodoxe de Voronezh. Il est actuellement membre du clergé du diocèse de Voronezh.
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dimanche 15 mai 2016
“La confession. Actes de l’université d’été 2015″ de la Métropole orthodoxe roumaine d’Europe occidentale et méridionale
“La confession. Actes de l’université d’été 2015″
Métropole orthodoxe roumaine d’Europe occidentale et méridionale, La confession. Actes de l’université d’été 2015, Éditions Apostolia, Limours, 2016.
Ce volume contient les actes de l’université d’été tenue en 2015 à l’intention du clergé de la Métropole roumaine. Les exposés, faits, à l’exception d’un seul, par des clercs ou des moines et moniales appartenant au patriarcat de Roumanie, comportent quatre études bibliques, canoniques et patristiques, et par ailleurs des réflexions pastorales, le plus souvent propres au contexte spécifique de l’Église roumaine, sur la nature de la confession, son rapport avec la paternité spirituelle, son rapport avec la psychothérapie, son aspect thérapeutique ou son lien avec la communion en relation avec le problème de la fréquence de celle-ci.
Sommaire :
— Introduction, par le métropolite Joseph
— La paternité spirituelle, par l’évêque Silouane
— Expérience du renouveau de la confession dans une paroisse urbaine, par le père Ciprian Negreanu
— Le repentir chez saint Jean Climaque et saint Jean Cassien, par l’archiprêtre Marc-Antoine Costa de Beauregard
— Confession et psychothérapie – la guérison de l’âme et du corps, par la moniale Siluana Vlad
— Comment sensibiliser les jeunes à la confession, par la moniale Sofronia
— La confession en Roumanie – Historique et situation actuelle, par l’archimandrite Nichifor Horia
— Le ministère de la paternité spirituelle selon l’archimandrite Sophrony, par le hiéromoine Melchisedec
— Une perspective canonique sur la confession, par le père Patriciu Vlaic
— Le sacrement de la confession selon la Sainte Ecriture, par le père Vasile Mihoc
— Dimension psychosomatique de la confession, par le père Jean Boboc
— La dimension thérapeutique de la corifession, par le père Philippe Dautais
— Contrition, repentir et confession, selon l’enseignement de saint Jean Chrysostome, par le père Gérard Reynaud
— Conclusion, par le métropolite Joseph
— En guise de postface: Quand l’amour répond à l’amour, par le métropolite Joseph
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confession
mardi 15 mars 2016
lundi 7 mars 2016
L'illusion de pouvoir changer sans l'aide de Dieu par Mère SILOUANA VLAD
D’un autre côté, nous devons assumer cette responsabilité de ce travail en synergie avec Dieu.
EXTRAIT de
Ma première véritable rencontre avec le Christ .. au coeur de mon enfer de aux éditions Apostolia. de Mère Silouana (Vlad) du Monastère de Saint-Silouane-l'Athonite à Iassy
"Quand quelqu’un est sur le point de mourir,
on ne peut pas dire qu’il assume la responsabilité qu’on lui mette un masque dbxygène sur le
visage. Non, il respire tout simplement. Donc,
quand nous comprenons notre faiblesse, quand
nous nous rendons compte combien nous sommes formatés à être impuissants, nous allons pouvoir dire : << Viens, Seigneur ! >> C’est là où on doit
arriver, on doit prendre conscience de sa propre
faiblesse. Et on n’aura pas besoin qu’on nous ap-prenne à prier car en arrivant "chez soi” on va le
faire tout naturellement.
Mes talents, ce sont aussi tous ces défauts, cet
héritage, cette levure du calice de la vie qui est
arrivé à moi ; le calice avec la lie (Ps 75,8) de mes péchés, du péché intérieur hérité de mes parents
comme impuissance de la nature humaine, ainsi
que le péché qui vient de l'extérieur, par l’apprentissage des mauvaises habitudes. On doit
donner à Dieu cette lie afin qu’Il la transforme
en vin pur. Mais cela signifie que je dois moi aussi boire avec Lui, jusqu’à la lie, le calice de ma vie.
La pression qui vient autant de l’intérieur, que de l’extérieur, a fait que mon sang, ma vie, sont
chargés de misère, et lorsque je dis << Mon Dieu,
je ne peux rien faire >>, le simple fait de vivre cette
conviction est déjà une prière, c’est le début de
la prière. C’est la descente dans l’enfer qui est en
moi, la prise de conscience de mon impuissance
et de la souffrance que me donne l'illusion que je
pourrais faire quelque chose sans Dieu, ou bien
que je pourrais faire quelque chose par moi-même : << Mon Dieu, attends un peu, je vais d'abord
arrêter de fumer et après je viendrai à l’Église. »
C’est l’illusion de l'ego qui nous y plonge car il
ne veut pas renoncer aux plaisirs qu’il substitue
à notre soif de joie."
Ma première véritable rencontre avec le Christ .. au coeur de mon enfer de aux éditions Apostolia. de Mère Silouana (Vlad) du Monastère de Saint-Silouane-l'Athonite à Iassy
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Mère Silouana (Vlad)
dimanche 6 mars 2016
Règle d’attention pour celui qui vit dans le monde
Saint Ignace (Briantchaninov) (1807-1867) |
Écrit pour le laïc pieux ayant le désir de mener dans le monde une vie attentive.
L’âme de tous les exercices spirituels est l’attention. Sans l’attention, ces exercices sont stériles et morts. Celui qui désire être sauvé doit se mettre dans une attitude qui lui permette de garder l’attention vers soi non seulement dans la solitude mais également dans la distraction provoquée parfois par les circonstances. Que le poids de la crainte de Dieu surpasse toutes les autres impressions dans son âme : alors il lui sera facile de garder l’attention à soi que ce soit dans la solitude de sa chambre comme au milieu du bruit du monde.
La prise de nourriture mesurée, la diminution de l’échauffement du sang contribuent beaucoup à l’attention à soi ; tandis que l’échauffement du sang – qui provient d’une alimentation excessive et de mouvements exagérés, de l’inflammation de la colère, de l’ivresse de la vanité et d’autres causes encore - engendre une quantité de pensées et de rêveries, autrement dit, la dispersion. Les saints pères prescrivent à celui qui veut pratiquer l’attention de commencer par une tempérance mesurée, égale et constante dans l’alimentation.
Au réveil – à l’image du réveil de la mort, qui attend toute personne – dirige tes pensées vers Dieu, apporte Lui en sacrifice tes pensées naissantes…
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Saint Ignace Briantchaninov,
vigilance
lundi 29 février 2016
Comme la lune croît et décroît, le pécheur… par St Jean de Karpathos
parfois il fait ce qui est juste, parfois il pèche, puis par le repentir il revient à une vie sainte. L'intelligence de celui qui pèche n'est pas détruite (comme certains le pensent), tout comme la taille physique de la lune ne diminue pas, mais seulement sa lumière. Par le repentir un homme retrouve sa véritable splendeur, juste comme la lune après la période de déclin se revêt une fois de plus de sa pleine lumière. Si un homme croit en Christ, «quand il serait mort, il vivra» (Jean 11:25); il saura que « Moi, le Seigneur, je l’ai dit, et je le ferai » (Ézékiel,17: 24).
St Jean de Karpathos
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dimanche 28 février 2016
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